
Uyirin uyirae
Publié mercredi 21 septembre 2005
 Dernière modification mercredi 21 septembre 2005
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Par 
| ▶ | Ondraa Rendaa Aasaigal | 
Uyirin uyirae…uyirin uyirae 
Toute ma vie, toute ma vie 
nadhiyin madiyil kaathu kidaikindrean 
J’attends sur les genoux de la rivière 
eera alaigaL neerai vaari mughathil iraithum 
Les vagues toutes mouillé, éclaboussent mon visage, 
muzhudhum vaerkindrean 
et je suis quand même en sueur 
nagarum neruppai kozhundhu vetterindean… 
Je brûle dans ce feu ardent 
aNaindha pinbhum…analin maelirundean 
Même éteint, je reste sur cette chaleur 
kaalaipaniyaaga yeNNai vaarikondaay 
Elle m’a ramassé comme la rosée du matin 
naeram kooda yedhiri aagivida…yughaNgaL aaga vaedam maarivida… 
Meme le temps devient ennemi, et il se change en secondes 
aNaththu kondaayae…pinbhu yaenoa sendraay 
Pourquoi es tu partie apres m‘avoir enlacé  
(uyirin uyirae) 
swasamindri thavikiraenae 
Je souffre sans pouvoir respirer 
unadhu moochchil pizhaikkiraenae 
Je survis grâce à ton souffle 
idhazhLgaLai idhazhLgaLaal nirappida vaa peNNae 
Vient remplir mes lèvres avec tes lèvres, ma chérie 
ninaivu yengoa neendhi chella 
Les pensées s’en vont en nageant 
kanavu vandhu kaNNai kiLLa 
Les rêves me pincent les yeux. 
nizhalyedhu nijamayedhu kuzhambinean vaa peNNae 
Qu’est ce que l’ombre qu’est ce que la réalité, c’est confus, viens beauté 
kaatril yendhan kaigaL rendum 
Dans le vent, mes deux mains 
uNNai andri yaarai thaedum 
A part toi, qui d’autres pourraient elles chercher ? 
vilagi poagaadhae tholaindhu poavaenae naan…naan…naaan 
Ne t’éloigne pas, je me perdrais sinon 
(uyirin uyirae) 
iravin poarvai yeNNai suzhundhu… 
La couverture de la nuit me titille 
mella mella moodum thazhndhu 
Petit à petit me couvre tout en me caressant 
vidiyalai thaedinean 
Je cherche le levée du soleil 
uNNidam vaa peNNae 
En toi, viens ma belle 
paadhamengum saavin raNangaL 
A chaque pas, les signes de la mort 
naragamaaghum kaadhal kaNangaL 
Les instants de l’amour deviennent un enfer 
orumurai madiyilae uranguvean vaa peNNae 
Je dormirais juste une fois sur tes genoux, viens ma belle 
thaamadhikkum ovoru kaNamum 
Chaque instant que tu m’accordes 
thavaNai muraiyil maraNam nighazhum 
Fera s’éloigner la mort seule 
arigil vaarayoa viralgaL thaarayoa 
Viendras tu près de moi ? donneras tu tes doigts ?